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Fille d'Adrien Picot et de Louise Rigaud, Albertine resta célibataire.
De 1886 à 1889, Albertine Picot tient des "Agendas" [voir Ms. fr. 6858].Le 1er janvier 1890, Albertine Picot recommence à tenir un journal et note au début : "J'abandonne mes petits agendas trouvant que souvent la place manque".Le journal est tenu régulièrement du 1er janvier 1890 au 27 octobre 1899. Puis, Albertine Picot interrompt son journal pour le reprendre le 24 mars 1902 avec cette phrase "[...] en relisant mes anciens journaux avec maman je me dis que je ferais peut-être bien de le reprendre quand j'en aurai le loisir". En effet, Albertine Picot reprend son journal pour le tenir jusqu'en 1920.
Albertine Picot interrompt son journal "de base" lorsqu'elle part en voyage, en Suisse, à la montagne, ou à l'étranger. Ainsi, en voyage, elle emporte d'autres petits carnets dans lesquels elle relate ses séjours à Paris, Lyon, aux Plans, à Vincy, etc.
Parallèlement ou en alternance avec son journal, Albertine Picot tient des agendas année par année.Après une longue interruption, Albertine Picot reprend ses agendas à partir du 15 janvier 1909.Cet agenda de "1909" a été commencé par sa mère, Louise Picot mais cette dernière meurt au début de l'année. Le 15 janvier 1909, Albertine note : "C'est cette nuit... que s'est éteinte... ma bien-aimée mère...".Les agendas se suivent de 1909 à 1934 et de 1936 à 1941.Pour les années 1920-1934, il n'y a que 4 agendas, chacun d'entre eux couvrant 5 années
Le carnet est commencé par les deux bouts. De l'autre côté : notes et "lettres écrites", c'est-à-dire la liste des personnes à qui Albertine Picot a écrit du 22 novembre 1942 au 9 octobre 1944
Martin, Bernard. Service funèbre de Petite Tante. Double dactylographié
Réalisé avec Ligeo Archives