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Le Département des Manuscrits acquiert en 2002 un lot d'archives Amiel totalement inconnu. La surprise est d'autant plus grande que ces papiers avaient trouvé refuge à Berlin. En effet, Paul Strohlin, neveu d'Amiel, avait lui aussi poursuivi ses études en Allemagne. Il y rencontre Bertha Putzke qu'il épouse en 1894. En 1908, suite au décès de son mari, elle retourne en Allemagne. A sa mort, une parente, Madame Suzanne Behrendt, hérite de ces papiers et en informe la BPU. Ce nouvel ensemble de documents inédits a été conservé dans son classement d'origine, en petits paquets entourés de ruban ou annotés par Henri Frédéric Amiel, son père (Henri) et son grand-père (Samuel-Frédéric) [catalogue dactylographié 47, p. 1].
Don de Mme Suzanne Behrendt
Cette cinquième partie regroupe d'une part des textes de jeunesse, des essais ou des maximes et d'autre part des articles ou des critiques littéraires. Il s'agit de textes autographes signés ou non qui ont été classés par ordre chronologique et, lorsque cela s'avérait impossible, par ordre alphabétique des titres.
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