Présentation du contenu : Cette série contient la correspondance rassemblée par Armand Borel au cours de sa carrière. Il s’agit pour l’essentiel de correspondance professionnelle bien que quelques éléments plus personnels concernant sa passion pour la musique ou le nature viennent parfois s’y glisser. L’ensemble, classé de manière alphabétique, couvre les échanges d’abord épistolaires puis électronique entretenus avec quelques 900 correspondant sur la période 1947-2003.
Nous rendons le lecteur attentif au fait que cet ensemble ne contient pas la totalité la correspondance d’Armand Borel. En effet, une importante correspondance se trouve également classée dans les séries manuscrits, dossiers et dossiers bis. De plus, les échanges entretenus avec Jean-Pierre Serre figure dans la série « Correspondance avec Jean-Pierre Serre ». Il pourrait donc être intéressant de consulter ces séries afin d’avoir une vision d’ensemble de la correspondance échangée avec un intervenant particulier.
Tri et éliminations : Dans son bureau à Princeton, la correspondance d’Armand Borel était organisée de la manière suivante :
- La correspondance entre Armand Borel et Jean-Pierre Serre, constitué d’un classeur contenant environ 400 lettres échangées entre 1950 et les années septante, ainsi que d’un dossier suspendu qui contenait les lettres et messages des années septante à 2003.
- Deux classeurs de correspondance, classés par ordre alphabétique, contenaient la correspondance échangée entre 1947 et les années septante.
- La suite de cette correspondance prenait la forme de 19 dossiers suspendus, contenant, classés toujours par ordre alphabétique, les lettres et messages électroniques échangés entre les années septante et 2003.
- De la correspondance figurait également dans de nombreux dossiers avec lesquels elle était en lien direct.
La correspondance entre Armand Borel et Jean-Pierre Serre a été conservée séparément, de façon à conserver le statut particulier qu’avait donné Armand Borel à cet ensemble et à faciliter l’application des règles de confidentialité s’y s’appliquant.
Pour le reste, nous avons pris la liberté de fusionner les deux ensembles classés selon la même logique alphabétique, mais séparés par une division chronologique au milieu des années septante. La volonté d’éviter au consultant d’avoir à répéter par deux fois la même recherche sur des ensembles similaires nous a poussés à choisir cette méthode. Hormis cette intervention, nous avons conservé l’intégralité des documents à l’exception des dossiers suspendus et classeurs d’origines qui ont été éliminés.
Quelques rares documents en provenance d’autres éléments du fonds ont pu être ajoutés à cet ensemble pour des raisons pratiques. Le nombre de ces interventions relève de l’anecdotique. De même, un ou deux dossiers liés à des proches et membres de la famille ont été déplacés au sein de la série « papiers personnels ».
Nous n’avons par contre pas touché à la correspondance figurant dans les autres séries du fonds, qui a par conséquent été laissée tel qu’à l’origine avec les ensembles et dossiers auxquels elle était liée.