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Dépôt de la Compagnie en août 1950, transformé en don en mai 1951
Thèses, dissertations, traités, commentaires, traductions, paraphrases, sermons, catéchismes, cours, discours, rapports, souvenirs, pièces diverses
Doyen de la Compagnie (1698-1705) et professeur à l'Académie (1661-1705), L. Tronchin s'oppose au Consensus Helveticus au sujet duquel il est en conflit avec François Turretini.
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Si le catalogue 22b place un "?" après les dates de vie et de mort d'A. Léger, ce peut-être pour signifier que l'oeuvre pourrait être attribuée à son père et homonyme Antoine Léger (1596-1661)
"Ces deux manuscrits, qui ne diffèrent que par le titre et le format, semblent être la reproduction d'un cours fait par Osterwald à Neuchâtel vers 1730. La table du 1er manuscrit est de la main de Nicolas Chenevière, pasteur à Genève 1750-1806. Le 2ème manuscrit provient de la famille Lardy-Dufour" [Bouvier et Heyer, 1896, p. 276]
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Voir Ms. Compagnie des pasteurs 987
A la suite: I. Réponse à M. Bousquet, 1 vol. in-4o, 8 p.II. Paraphrase de l'Ep. aux Galathes [sic], 46 p.III. Réflexions sur la Divinité et son union avec J.-C., par un esprit désintéressé, 32 p.
Cette histoire universelle est continuée par P. Picot pour 1738 à 1801A la suite: Historia Lusitaniae seu Portugalliae [continuée pour 1739-1808 par Pierre Picot]
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Précédé de: Recherches sur la religion, 6 p. [s.d.]
Né le 23 décembre 1700 à Genève, F. De Roches décède dans cette même ville le 24 octobre 1769. Fils d'Henri et de Suzanne Constance Molaret, il épouse en 1726 Anne Berjon (décédée en 1739), fille de Jean-Louis, avec laquelle il a Charlotte-Renée et Jacqueline Antoinette. En secondes noces (1740), il épouse Elisabeth Claparède, fille de Claude, avec qui il a Anne-Elisabeth et Jean-Louis, pasteur. F. De Roches étudie la théologie à Genève (1719-1724). Consacré en 1725, il est pasteur à Chêne (1727) et à Genève (1733-1756). Il enseigne la théologie morale à l'académie (1749), participe à la traduction de la Bible de Genève ainsi qu'à la révision du catéchisme d'Ostervald (1752). Ses nombreuses publications reflètent l'influence des Lumières sur la théologie réformée.
Les deux dernières harangues datées de 1778 et 1783 sont probablement de Jean-Louis De Roches. D'autres ne sont pas de François De Roches.
En tête du 1er volume: Eloge historique de F. De R. par Perdriau. Genève, 1769, in-8o. Imprimé. A la suite du vol. XI: Orationes academicae, rectorales duae, inauguralis una (1748-1749), 46 f.
A la suite du 7e vol. (t. II des Extr. de controverses angl.): Lettre du curé de L*** à Mgr l'évêque d'Agen, au sujet de celle qu'un prélat a écrite à M. le Contrôleur général contre la tolérance des Huguenots dans le Royaume (L. in-4o) 1751. Imprimé
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