Archives de la famille Naville, branche de Vernier Inventaire complet (pdf)
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Actes d'un procès entre Honorable Jehan, fils de feu Jaques Naville, citoyen de Genève, au nom de Michia Dupuys, veuve du dit Jaques Naville, sa mère, et Françoise, veuve de Pierre Dupuys. Demené par devant la cour de la Baronie de Troches aux mois d'octobre, novembre et décembre 1556. Extraits des registres de cour de la dite Baronie. Avec une transaction qui termine le dit procès. Du 24 août 1557
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Ratification faite par Honorable Pierre, fils de feu Honorable Jean Naville, maître horlogier, citoyen de Genève, d'un acte d'accord, traité et règlement de compte fait et passé le 11 octobre 1648 entre le dit Honorable Pierre Naville et Honorable Pierre Naville, marchand citoyen de Genève, son oncle et parrain. Du 24 juillet 1649. Copie
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Quittance pour le Sieur Isaac Naville, marchand citoyen, à lui faite par les S[ieu]rs Jean Jaques et Louys Naville et Damoiselles Suzanne Naville, veuve de S[ieu]r G[édéon] Decombes, Lidie Naville, femme de S[ieu]r Jean Mussard, Marie Naville, femme de S[ieu]r Jean Pallard et par S[ieu]r Etienne Dentand, tuteur de ses enfants conçus en la personne de feu D[am]e Andrienne Naville, sa femme. Tous frères, soeurs et beaux frères du dit S[ieu]r Isaac Naville. Du 11 octobre 1678. Copie
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Contrat de mariage entre M[onsieu]r Pierre Naville, citoyen de Genève négociant, fils de feu S[ieu]r Marc Naville et de feue Dame Anne Olympe Lalouët, et Mademoiselle Julie Bonnet, fille de M[onsieu]r Jean Jaques Bonnet, citoyen de Genève, ancien capitaine au Service de France, Chevalier de l'ordre du mérite militaire et conseiller au Grand Conseil et de feue Dame Jeanne Marie Gravier. Le 29 mars 1787. Copie
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Testament olographe de Spectable Georges Constantin Naville, ministre du S[ain]t Evangile et Professeur aux Belles Lettres dans l'Académie de Genève, fils de feu Sieur Marc Naville, citoyen, et de Dame Anne Olympe Lalouët. Du 28 septembre 1788. En faveur de François Marc Louis et Espérance Ernestine Naville, ses enfants. Copie
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Acquis par Noble et Spectable Antoine Josué Diodati, fidèle ministre du S[ain]t Evangile, bourgeois de Genève, de la Dame veuve et des N[obl]e Dame et D[emoise]lles, enfants et héritiers de feu N[obl]e Jean Louis Pictet, quand vivait seigneur syndic de la République de Genève, de trois pièces de terre en champ, savoir un champ dit Champ Claude, et deux champs dits Blandonnex dessus et Blandonnex dessous. Du 16 septembre 1763
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Acquis par Noble et Spectable Antoine Josué Diodati, ministre du S[ain]t Evangile, bourgeois de Genève, de la Dame veuve, enfants et héritiers de Noble Jean Louis Pictet, quand vivait seigneur syndic de la République de Genève, d'une pièce de vigne et cinq pièces de champ, savoir la vigne des Combes, une pièce de champ en Blandonnex, une pièce de champ en Bornelae, trois pièces de champ en Rouge. Du 4 mars 1765
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Acquis par Noble et Spectable Antoine Josué Diodati, fidèle ministre du S[ain]t Evangile, bourgeois de Genève, de la Dame veuve et N[obl]e Dame et D[emoise]lles enfants et héritiers de feu N[obl]e Jean Louis Pictet, quand vivait seigneur syndic de la République de Genève, de deux pièces de champ, l'une au lieudit la Bluche et l'autre au lieudit la Molliette. Du 28 avril 1766
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Acquis par Noble Antoine Josué Diodati, bourgeois de Genève, de Noble Pierre Pictet, de Sergier, Lieutenant Colonel dans un régiment suisse au service de S[a] M[ajesté] T[rès] C[atholique], citoyen et membre du Grand Conseil de la République de Genève, aux noms qu'il agit, d'une pièce de vigne située au territoire de Vernier, lieudit les Morennes. Du 2 février 1767
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Quittance et garantie pour Noble et Spectable Antoine Josué Diodati, fidèle ministre du S[ain]t Evangile, bourgeois de Genève, par la Dame veuve et les Nobles dame et Dem[oise]lles, enfants et héritiers de feu Noble Jean Louis Pictet, seigneur syndic de la République de Genève. Pour le champ dit Champ Claude. Du 21 avril 1769
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Contrat d'acquis pour Abraham Girod, citoyen de Genève, de Marie Aimée Rilliet, veuve d'Antoine Josué Diodati, quand vivait pasteur de l'Eglise, citoyen de Genève. Du domaine situé à Vernier, territoire de Gex, y compris quatre pièces de terre situées sur le territoire de Genève, ensemble la maison de maître et toutes les dépendances, le tout de la contenance d'environ cen trente six poses et demi. Du 5 août 1795
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Double de contrat de vente du domaine de Vernier, portant obligation et privilège de prix non payé, au premier degré. Pour Monsieur Jean Jaques Ador, demeurant à Paris, contre Spectable François-Marc-Louis Naville, pasteur de l'Eglise réformée à Genève, capital francs 65.000 payable dans un an. Int[érêt] à 4%. Du 18 décembre 1820
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