Manuscrits et archives privées

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 129). Numéro d'entrée IMV 9432/2017.

Lettre de Pierre Fijan de Talmay à François dit Duvivier faisant partie de l'ensemble concernant le règlement amiable de l'affaire Tournay, litige entre Voltaire, locataire en viager de la terre et du château de Tournay, et Charles de Brosses, Premier Président du Parlement de Bourgogne, propriétaire de Tournay. Voltaire avait pris des bois coupés dans la forêt, déjà vendus à un certain Baudy au moment du bail. Après la mort du président de Brosses (1777), son frère Claude-Charles de Brosses, grand bailli de la noblesse du pays de Gex, continua la procédure contre Voltaire, puis contre la nièce et héritière, Madame Denis; l'affaire se poursuivit au nom de son neveu, René de Brosses, fils mineur du président, et bénéficiaire d'une donation entre vifs de Tournay par l'oncle. La correspondance, adressée principalement à Mme Denis-Duvivier et à son mari Duvivier, comporte notamment des lettres de Pierre Fijan de Talmay, conseiller au Parlement de Bourgogne, aux Duvivier, des minutes de Madame Denis ou François Duvivier, et une lettre de Charles-Gabriel-Frédéric Christin, avocat et exécuteur testamentaire de Voltaire ; une copie de l’inventaire des meubles, effets et bestiaux remis à Voltaire par le président de Brosses (1759) ; une copie de l’acte de donation de la terre de Tournay (1779) ; et des « Réflexions sur le projet de transaction » qui devaient aboutir à une transaction conclue le 16 janvier 1781. D'autres lettres autour de l'affaire Tournay élargissent la liste de correspondants.
L'adresse est marquée sur la dernière page de la lettre.
Cachet de cire noire sur la dernière page.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 129). Numéro d'entrée IMV 9432/2017.

Lettre de François dit Duvivier à Pierre Fijan de Talmay faisant partie de l'ensemble concernant le règlement amiable de l'affaire Tournay, litige entre Voltaire, locataire en viager de la terre et du château de Tournay, et Charles de Brosses, Premier Président du Parlement de Bourgogne, propriétaire de Tournay. Voltaire avait pris des bois coupés dans la forêt, déjà vendus à un certain Baudy au moment du bail. Après la mort du président de Brosses (1777), son frère Claude-Charles de Brosses, grand bailli de la noblesse du pays de Gex, continua la procédure contre Voltaire, puis contre la nièce et héritière, Madame Denis; l'affaire se poursuivit au nom de son neveu, René de Brosses, fils mineur du président, et bénéficiaire d'une donation entre vifs de Tournay par l'oncle. La correspondance, adressée principalement à Mme Denis-Duvivier et à son mari Duvivier, comporte notamment des lettres de Pierre Fijan de Talmay, conseiller au Parlement de Bourgogne, aux Duvivier, des minutes de Madame Denis ou François Duvivier, et une lettre de Charles-Gabriel-Frédéric Christin, avocat et exécuteur testamentaire de Voltaire ; une copie de l’inventaire des meubles, effets et bestiaux remis à Voltaire par le président de Brosses (1759) ; une copie de l’acte de donation de la terre de Tournay (1779) ; et des « Réflexions sur le projet de transaction » qui devaient aboutir à une transaction conclue le 16 janvier 1781. D'autres lettres autour de l'affaire Tournay élargissent la liste de correspondants.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 129). Numéro d'entrée IMV 9432/2017.

Lettre de Marie-Louise Mignot Madame Denis à Monsieur de Montarcher faisant partie de l'ensemble concernant le règlement amiable de l'affaire Tournay, litige entre Voltaire, locataire en viager de la terre et du château de Tournay, et Charles de Brosses, Premier Président du Parlement de Bourgogne, propriétaire de Tournay. Voltaire avait pris des bois coupés dans la forêt, déjà vendus à un certain Baudy au moment du bail. Après la mort du président de Brosses (1777), son frère Claude-Charles de Brosses, grand bailli de la noblesse du pays de Gex, continua la procédure contre Voltaire, puis contre la nièce et héritière, Madame Denis; l'affaire se poursuivit au nom de son neveu, René de Brosses, fils mineur du président, et bénéficiaire d'une donation entre vifs de Tournay par l'oncle. La correspondance, adressée principalement à Mme Denis-Duvivier et à son mari Duvivier, comporte notamment des lettres de Pierre Fijan de Talmay, conseiller au Parlement de Bourgogne, aux Duvivier, des minutes de Madame Denis ou François Duvivier, et une lettre de Charles-Gabriel-Frédéric Christin, avocat et exécuteur testamentaire de Voltaire ; une copie de l’inventaire des meubles, effets et bestiaux remis à Voltaire par le président de Brosses (1759) ; une copie de l’acte de donation de la terre de Tournay (1779) ; et des « Réflexions sur le projet de transaction » qui devaient aboutir à une transaction conclue le 16 janvier 1781. D'autres lettres autour de l'affaire Tournay élargissent la liste de correspondants.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 129). Numéro d'entrée IMV 9432/2017.

Lettre de François dit Duvivier à Pierre Fijan de Talmay faisant partie de l'ensemble concernant le règlement amiable de l'affaire Tournay, litige entre Voltaire, locataire en viager de la terre et du château de Tournay, et Charles de Brosses, Premier Président du Parlement de Bourgogne, propriétaire de Tournay. Voltaire avait pris des bois coupés dans la forêt, déjà vendus à un certain Baudy au moment du bail. Après la mort du président de Brosses (1777), son frère Claude-Charles de Brosses, grand bailli de la noblesse du pays de Gex, continua la procédure contre Voltaire, puis contre la nièce et héritière, Madame Denis; l'affaire se poursuivit au nom de son neveu, René de Brosses, fils mineur du président, et bénéficiaire d'une donation entre vifs de Tournay par l'oncle. La correspondance, adressée principalement à Mme Denis-Duvivier et à son mari Duvivier, comporte notamment des lettres de Pierre Fijan de Talmay, conseiller au Parlement de Bourgogne, aux Duvivier, des minutes de Madame Denis ou François Duvivier, et une lettre de Charles-Gabriel-Frédéric Christin, avocat et exécuteur testamentaire de Voltaire ; une copie de l’inventaire des meubles, effets et bestiaux remis à Voltaire par le président de Brosses (1759) ; une copie de l’acte de donation de la terre de Tournay (1779) ; et des « Réflexions sur le projet de transaction » qui devaient aboutir à une transaction conclue le 16 janvier 1781. D'autres lettres autour de l'affaire Tournay élargissent la liste de correspondants.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 129). Numéro d'entrée IMV 9432/2017.

Lettre de Pierre Fijan de Talmay à Marie-Louise Mignot Madame Denis faisant partie de l'ensemble concernant le règlement amiable de l'affaire Tournay, litige entre Voltaire, locataire en viager de la terre et du château de Tournay, et Charles de Brosses, Premier Président du Parlement de Bourgogne, propriétaire de Tournay. Voltaire avait pris des bois coupés dans la forêt, déjà vendus à un certain Baudy au moment du bail. Après la mort du président de Brosses (1777), son frère Claude-Charles de Brosses, grand bailli de la noblesse du pays de Gex, continua la procédure contre Voltaire, puis contre la nièce et héritière, Madame Denis; l'affaire se poursuivit au nom de son neveu, René de Brosses, fils mineur du président, et bénéficiaire d'une donation entre vifs de Tournay par l'oncle. La correspondance, adressée principalement à Mme Denis-Duvivier et à son mari Duvivier, comporte notamment des lettres de Pierre Fijan de Talmay, conseiller au Parlement de Bourgogne, aux Duvivier, des minutes de Madame Denis ou François Duvivier, et une lettre de Charles-Gabriel-Frédéric Christin, avocat et exécuteur testamentaire de Voltaire ; une copie de l’inventaire des meubles, effets et bestiaux remis à Voltaire par le président de Brosses (1759) ; une copie de l’acte de donation de la terre de Tournay (1779) ; et des « Réflexions sur le projet de transaction » qui devaient aboutir à une transaction conclue le 16 janvier 1781. D'autres lettres autour de l'affaire Tournay élargissent la liste de correspondants.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 129). Numéro d'entrée IMV 9432/2017.

Lettre de Pierre Fijan de Talmay à Marie-Louise Mignot Madame Denis faisant partie de l'ensemble concernant le règlement amiable de l'affaire Tournay, litige entre Voltaire, locataire en viager de la terre et du château de Tournay, et Charles de Brosses, Premier Président du Parlement de Bourgogne, propriétaire de Tournay. Voltaire avait pris des bois coupés dans la forêt, déjà vendus à un certain Baudy au moment du bail. Après la mort du président de Brosses (1777), son frère Claude-Charles de Brosses, grand bailli de la noblesse du pays de Gex, continua la procédure contre Voltaire, puis contre la nièce et héritière, Madame Denis; l'affaire se poursuivit au nom de son neveu, René de Brosses, fils mineur du président, et bénéficiaire d'une donation entre vifs de Tournay par l'oncle. La correspondance, adressée principalement à Mme Denis-Duvivier et à son mari Duvivier, comporte notamment des lettres de Pierre Fijan de Talmay, conseiller au Parlement de Bourgogne, aux Duvivier, des minutes de Madame Denis ou François Duvivier, et une lettre de Charles-Gabriel-Frédéric Christin, avocat et exécuteur testamentaire de Voltaire ; une copie de l’inventaire des meubles, effets et bestiaux remis à Voltaire par le président de Brosses (1759) ; une copie de l’acte de donation de la terre de Tournay (1779) ; et des « Réflexions sur le projet de transaction » qui devaient aboutir à une transaction conclue le 16 janvier 1781. D'autres lettres autour de l'affaire Tournay élargissent la liste de correspondants.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 129). Numéro d'entrée IMV 9432/2017.

Lettre de Pierre Fijan de Talmay à Marie-Louise Mignot Madame Denis faisant partie de l'ensemble concernant le règlement amiable de l'affaire Tournay, litige entre Voltaire, locataire en viager de la terre et du château de Tournay, et Charles de Brosses, Premier Président du Parlement de Bourgogne, propriétaire de Tournay. Voltaire avait pris des bois coupés dans la forêt, déjà vendus à un certain Baudy au moment du bail. Après la mort du président de Brosses (1777), son frère Claude-Charles de Brosses, grand bailli de la noblesse du pays de Gex, continua la procédure contre Voltaire, puis contre la nièce et héritière, Madame Denis; l'affaire se poursuivit au nom de son neveu, René de Brosses, fils mineur du président, et bénéficiaire d'une donation entre vifs de Tournay par l'oncle. La correspondance, adressée principalement à Mme Denis-Duvivier et à son mari Duvivier, comporte notamment des lettres de Pierre Fijan de Talmay, conseiller au Parlement de Bourgogne, aux Duvivier, des minutes de Madame Denis ou François Duvivier, et une lettre de Charles-Gabriel-Frédéric Christin, avocat et exécuteur testamentaire de Voltaire ; une copie de l’inventaire des meubles, effets et bestiaux remis à Voltaire par le président de Brosses (1759) ; une copie de l’acte de donation de la terre de Tournay (1779) ; et des « Réflexions sur le projet de transaction » qui devaient aboutir à une transaction conclue le 16 janvier 1781. D'autres lettres autour de l'affaire Tournay élargissent la liste de correspondants.
L'adresse est marquée sur la dernière page de la lettre.
Cachet de cire rouge sur la dernière page.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 129). Numéro d'entrée IMV 9432/2017.

Lettre de Pierre Fijan de Talmay à François dit Duvivier faisant partie de l'ensemble concernant le règlement amiable de l'affaire Tournay, litige entre Voltaire, locataire en viager de la terre et du château de Tournay, et Charles de Brosses, Premier Président du Parlement de Bourgogne, propriétaire de Tournay. Voltaire avait pris des bois coupés dans la forêt, déjà vendus à un certain Baudy au moment du bail. Après la mort du président de Brosses (1777), son frère Claude-Charles de Brosses, grand bailli de la noblesse du pays de Gex, continua la procédure contre Voltaire, puis contre la nièce et héritière, Madame Denis; l'affaire se poursuivit au nom de son neveu, René de Brosses, fils mineur du président, et bénéficiaire d'une donation entre vifs de Tournay par l'oncle. La correspondance, adressée principalement à Mme Denis-Duvivier et à son mari Duvivier, comporte notamment des lettres de Pierre Fijan de Talmay, conseiller au Parlement de Bourgogne, aux Duvivier, des minutes de Madame Denis ou François Duvivier, et une lettre de Charles-Gabriel-Frédéric Christin, avocat et exécuteur testamentaire de Voltaire ; une copie de l’inventaire des meubles, effets et bestiaux remis à Voltaire par le président de Brosses (1759) ; une copie de l’acte de donation de la terre de Tournay (1779) ; et des « Réflexions sur le projet de transaction » qui devaient aboutir à une transaction conclue le 16 janvier 1781. D'autres lettres autour de l'affaire Tournay élargissent la liste de correspondants.
L'adresse est marquée sur la dernière page de la lettre.
Cachet de cire noire sur la dernière page.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 130). Numéro d'entrée IMV 9433/2017.

Lettre du secrétaire de Godefroy-Charles-Henri duc de Bouillon, Michel Gobelet, à François dit Duvivier à propos d'une rente de 1250 livres du précédent duc de Bouillon, Charles-Godefroy de La Tour d'Auvergne, due à Voltaire et en partie réversible sur la tête de sa nièce, Madame Duvivier. Des recherches sur les brevets de retenue accordés au feu duc de Bouillon tendraient à prouver que Voltaire fait partie des créanciers de l'actuel duc de Bouillon.
L'adresse est marquée sur la dernière page de la lettre.
Cachet de cire rouge sur la dernière page.

Lettre acquise auprès de ALDE (Paris), lors de la vente du 12 décembre 2016 (lot 130). Numéro d'entrée IMV 9433/2017.

Lettre du secrétaire de Godefroy-Charles-Henri duc de Bouillon, Michel Gobelet, à François dit Duvivier à propos d'une rente de 1250 livres du précédent duc de Bouillon, Charles-Godefroy de La Tour d'Auvergne, due à Voltaire et en partie réversible sur la tête de sa nièce, Madame Duvivier. Gobelet donne des précisions sur les intentions de Bouillon, concernant les engagements contractés par le feu prince son père.